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UN MARQUEUR SANGUIN POUR LE CANCER DU PANCRÉAS

 

Bientôt un marqueur sanguin pour le cancer du pancréas ?
Par Sylvie Riou-Milliot

Publié le 26-06-2015 à 13h30

Une équipe américaine a identifié une protéine qui pourrait permettre la détection précoce de cette maladie redoutable.


Le cancer du pancréas est redoutable car 5 % des malades seulement survivent 5 ans après sa découverte, souvent tardive. © Inserm, JJ Duron



ONCOLOGIE. Le cancer du pancréas est redoutable car 5 % des malades seulement survivent 5 ans après sa découverte, souvent tardive. Et, en France, environ 10.000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Jusqu'à maintenant, aucun marqueur sanguin, diagnostic permettant la détection précoce de la maladie, n’avait été clairement identifié. C’est désormais chose faite avec les travaux d’une équipe américaine parus le 24 juin dans la revue Nature.

Un marqueur déjà identifié chez le rat

L’équipe de Raghu Kalluri du MD Anderson Cancer Center de l’université du Texas (États-Unis) s’est concentrée sur une protéine, le glypican- 1 (GPC1) présente uniquement dans les petites vésicules (exosomes) déversées par les cellules tumorales. La même équipe avait déjà, par le passé, identifié ce marqueur, mais uniquement chez le rat. Cette fois, les tests menés auprès de 250 échantillons sanguins de malades comparés à ceux de volontaires sains, confirment sa présence chez l’homme et l’origine tumorale de cette protéine. Selon les scientifiques qui ont participé à ces travaux, le test s’avère sensible et spécifique, sans générer ce que l’on appelle des "faux positifs" et des "faux négatifs". De plus, les taux les plus élevés de GPC1 ont été retrouvés dans le sang des personnes chez qui le cancer était le plus évolué. Ce qui suggère que ce test, quand il sera validé par d’autres travaux, pourrait être non seulement une aide au diagnostic mais permettrait aussi de suivre l’évolution de la maladie.


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CANCER DU PANCRÉAS

 

Le cancer du pancréas : pourquoi il reste le plus dangereux
Par Hugo Jalinière

Publié le 13-11-2014 à 16h36

Ce jeudi 13 novembre, c'est la première journée mondiale de lutte contre le cancer du pancréas, le seul dont la mortalité continue de progresser. Mais pourquoi est-il si meurtrier ?



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FOUDROYANT. C'est l'un des cancers les plus plus agressifs et les plus meurtriers qui soient : le cancer du pancréas touche chaque année en France plus de 10.000 nouvelles personnes (autant d'hommes que de femmes). Et alors qu'une amélioration significative du taux de survie a pu être observée ces dernières années sur de nombreux cancers (prostate, sein...), le cancer du pancréas résiste à tous les efforts de la recherche bio-médicale. C'est même le seul cancer dont la mortalité est en augmentation.


Face à ce constat dramatique, des associations de patients de part le monde et la fondation Arcad en France (Aide et recherche en cancérologie digestive) ont instauré ce jeudi 13 novembre la première journée mondiale de lutte contre le cancer du pancréas. L'objectif ? Mobiliser et informer le public sur un cancer redouté et pourtant méconnu.

Un pronostic sombre

Car le pronostic des personnes atteintes reste particulièrement sombre. Selon les données de l'Institut national du cancer (Inca), tous stades confondus, le taux de survie à 5 ans des patients atteints d'un cancer du pancréas n'est que de 5%. Et même en cas de chirurgie suivie de chimiothérapie, la survie est de l’ordre de 20% à 5 ans. Le cancer du pancréas fait bien partie de ce qu'on appelle les cancers foudroyants.


Une "situation anatomique" qui le rend difficile à dépister

Cela tient d'abord à la difficulté qu'il y a à le dépister. En effet,
le pancréas est un organe digestif profondément enfoui dans l'abdomen, derrière l'estomac et à proximité du foie, de l'intestin et d'un réseau très dense de vaisseaux sanguins.

Cette "situation anatomique"
fait que les symptômes n'apparaissent qu'assez tardivement, à un stade où le cancer a déjà pu métastaser aux organes tout proches. De plus, ces "symptômes" sont peu révélateurs car il ne sont pas spécifiques et peuvent avoir une autre origine que le cancer. Ainsi, seuls 20% des patients sont diagnostiqués à un stade où la tumeur peut encore être opérée.

L'autre facteur qui rend ce cancer si sévère, c'est que les tumeurs qui se logent dans le pancréas sont biologiquement très agressives. Or la promiscuité des autres organes et du réseau de vaisseaux sanguins rend ces derniers particulièrement vulnérables aux métastases. Autant d'obstacles à la solution chirurgicale.

Des symptômes difficiles à interpréter

Rapide, le développement d'une tumeur au pancréas peut se manifester par des douleurs fortes et persistantes derrière l'estomac ou au niveau du dos, en particulier lorsque le cancer est localisé à la queue du pancréas.

Des troubles de la digestion peuvent également survenir : perte d'appétit, difficultés à digérer, nausées... qui s'installent dans le temps pendant plusieurs jours voire plusieurs semaines. Un des symptômes majeurs qui doit alerter, c'est le jaunissement du teint des personnes touchées. Une jaunisse qui peut également s'accompagner de démangeaisons, signes que la bile fabriquée par le foie ne s'écoule plus correctement. Ces symptômes sont plus fréquents pour des cancers qui se développent à la tête du pancréas.

Si le cancer du pancréas reste l'un des plus meurtriers, la prise en charge fait néanmoins quelques progrès. "Beaucoup de gens continuent de mourir. Mais ce qui est clair, c’est qu’on freine l’évolution de la maladie, il y a un allongement de la survie à moyen terme", explique le Pr Pascal Hammel, gastroentérologue spécialiste des cancers à l'hôpital Beaujon.


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LA BACTÉRIE TUEUSE ...

 

Bébés de Chambéry : on connaît enfin le nom de la bactérie tueuse
Par Lise Loumé


C'est un micro-organisme jusqu'alors inconnu qui a causé le décès de trois nouveau-nés à l'hôpital de Chambéry en décembre 2013.

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FAITS. En décembre 2013, trois nourrissons décédaient d’un choc septique (insuffisance circulatoire aiguë due à une infection bactérienne) à l'hôpital de Chambéry. Tous avaient reçu des éléments nutritifs (glucose, lipides, vitamines, etc.), via la perfusion de poches alimentaires. En analysant ces poches (censées être stériles comme tous les produits injectables), des chercheurs de l’Institut Pasteur avaient établi dès janvier 2014 que six d’entre elles étaient contaminées par une bactérie jusqu'alors inconnue.
Vers un test qui détecte cette bactérie
Baptisée par les chercheurs Rouxiella chamberiensis (en références à Émile Roux, proche collaborateur de Louis Pasteur, et au lieu de la découverte), cette bactérie vient d’être officiellement reconnue par le Comité international de taxonomie bactérienne. Les scientifiques ont publiés ce mardi 17 mars 2015 un article dans la revue International Journal of Systematic and Evolutionary Microbiology dans lequel ils indiquent l’ensemble des données de séquençage du génome de la bactérie ainsi que sa caractérisation complète.

Et cette bactérie possède une propriété étonnante : elle se multiplie à une température de 4°C, alors que la plupart des bactéries de sa famille (appelées entérobactéries, représentées dans l'arbre phylogénétique ci-dessous) sont incapables de se développer en-dessous de 8°C. De plus, elle se met en latence et cesse sa croissance à 37°C. "Les souches bactériennes isolées, ainsi que toutes les données génomiques collectées ont été mises à disposition de la communauté scientifique en libre accès", précise l'Institut Pasteur.

Arbre phylogénétique des bactéries. Pourcentage de divergence.
Les scientifiques publient aujourd’hui l’article instituant la reconnaissance officielle et la caractérisation complète de cette bactérie, appartenant à un nouveau genre. Celle-ci a été baptisée Rouxiella chamberiensis, en hommage à Emile Roux, proche collaborateur de Louis Pasteur qui dirigea l’Institut Pasteur de 1904 à 1933. L’ensemble des données de séquençage, ainsi que de la caractérisation de cette bactérie, ont été mis à disposition de la communauté scientifique et médicale. - See more at: http://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/presse/documents-presse/nourrissons-chambery-rouxiella-chamberiensis-nouvelle-bacterie-identifiee-par-l-institut-pasteur-officiellement-reconnue#sthash.VxvS0oBe.dpuf
ENQUÊTE. Les chercheurs de l'Institut Pasteur travaillent actuellement à la mise au point d’un test de détection spécifique à Rouxiella chamberiensis. Par ailleurs, ils doivent également apporter leur expertise dans le cadre de l’enquête judiciaire, qui devrait permettre d’établir le scenario de contamination des poches de nutrition, et de comprendre d’où provient cette bactérie, ainsi que son mode d’action.

 

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LES FRITES DE McDonald's

 

 McDonald's : les 19 ingrédients contenus dans les frites révélés

FRITES. Bon, déjà, on vous rassure tout de suite, il y a bel et bien de la pomme de terre dans les frites de McDonald's. Pour le reste, c’est plus compliqué… Pas moins de 18 autres ingrédients sont utilisés. L'ingénieur journaliste Grant Imahara, diplômé de l'université Californie du Sud, a été accueilli dans une usine de fabrication pour suivre l'ensemble de la chaîne de fabrication, assez impressionnante. Pour autant, il ne faut pas s'attendre à des révélations fracassantes puisque la visite a été très encadrée et sert désormais la promotion du géant de la "junk-food"... Parmi ces ingrédients on trouve des composants assez classiques comme le sel bien sûr, mais aussi l'huile de canola, de soja, des arômes naturels de bœuf ou de l'acide citrique. Plus surprenant en revanche, le recours à une forme de silicone assez commune dans les shampoings : le dimethylpolysiloxane (persévérez…) qui est ajouté pour éviter que l’huile ne mousse au moment de la cuisson. Un composé également utilisé dans les sodas au cola. Ou dans le Silly Putty, un caoutchouc très particulier.



APPROUVÉ. Selon le reportage (approuvé par McDonald's) aucun de ces composants ne constitueraient un risque pour la santé des consommateurs. Notons néanmoins que les recettes commercialisées sont parfois très différentes d'un pays à l'autre. Rien ne nous permet donc d'affirmer que, si vous ne vivez pas aux États-Unis, les frites que vous trouverez à votre prochain passage au fast-food sont faites de la même façon que cela est présenté dans ce reportage. Rappelons en outre que les produits proposés par les fast-foods sont en général très riches en graisses et tendent à favoriser l'explosion du nombre de personnes obèses risquant à terme de développer des maladies comme un diabète de type 2.


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